L’arbre roule vers la vallée
dévale la pente
veut de nouveau remonter
sur la montagne de pierre
Face à la mer
je te demande
avant que ne vienne le froid
où te caches-tu
Personne ne répond
à travers des rues crevassées
plus liquides et mouvantes
les unes que les autres
Des fissures surgissent
comme l’ombre d’un autre temps
à l’envers de l’endroit
Dans la pénombre
tu étais entré
par les côtés du silence
murmure encore ta voix
Le train s’avance
alarmant
je m’entends crier
hors de la limite
tremblante
M'agrada molt. I m¡alegro que seguesques les meves coses.
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